vendredi 25 novembre 2011

Bluegriffon 1.3.1 - Mise à jour

La dernière mise à jour du paquet de Bluegriffon se fait sans problème.

Par contre l'application ne se lance pas. Dans un terminal, on apprend qu'il manque libjpeg.so.62

Normalement, c'est le paquet libjpeg-turbo qui est installé sur Archlinux. Il n'est pas compatible avec Bluegriffon.

Pour que ce dernier fonctionne, il faut installer le paquet libjpeg6-turbo du dépôt AUR.



Dans un terminal, tapez :
$ yaourt -S libjpeg6-turbo

Ensuite vous pourrez profiter du nouveau Bluegriffon

mardi 18 octobre 2011

Wordpress en français

J'utilise Wordpress sur un serveur local pour faire un journal personnel qui me sert de défouloir.

L'installation du paquet Wordpress se fait sans problème dans le répertoire /srv/http/. (pacman -S wordpress) Il faut gérer quelques droits sur les répertoires, créer une base de données MySQL vide.
Bref, une installation assez courante pour ce type d'outil.

Enfin, il y a la création du fichier wp_config.php à la racine du site qui contient notamment le paramètre de langage.

define('WPLANG', 'fr_FR');

Si on ne fait rien d'autre, l'interface reste en anglais. Pour que le changement soit effectif, il faut récupérer le fichier de localisation sur cette page :

http://www.wordpress-fr.net/telechargements/ et récupérer le fichier fr_FR.mo

Ensuite, aller sur dans le répertoire /srv/http/wordpress/wp_content/ et créer le répertoire languages (attention à l'orthographe, il faut bien le créer en anglais).

Par exemple dans un terminal :
cd /srv/http/wordpress/wp_content
sudo mkdir languages

Enfin, il suffit d'y copier le fichier fr_FR.mo récupéré. Relancer le navigateur et c'est bon.

Par ailleurs, ne pas oublier de créer le fichier .htaccess à la racine du blog si l'application n'a pas pu le faire automatiquement (généralement un problème de droit en écriture). Son contenu est décrit dans le tableau de bord, menu réglages->permaliens.

Tout cela étant fait, c'est une belle expérience qui vous attend...

lundi 8 août 2011

Passage au noyau linux 3.0

La news :

Le nouveau noyau est passé en core et remplace le kernel-2.26.
Ne pas oublier de modifier le fichier /boot/grub/menu.lst.pacnew en  /boot/grub/menu.lst (et avoir mis l'ancien en .bak) avant de relancer la machine.

Cf. note :

http://archlinux.fr/news/noyau-3-0-disponible-dans-core

Le redémarrage  s'est déroulé sans problème. Après avoir constaté que le nouveau fonctionnait correctement (je suis revenu là où j'étais, sans problème). J'ai effectué le nettoyage des liens symbolique comme indiqué dans la note.

Un article complet sur ce nouveau noyau sur linuxfr :

http://linuxfr.org/news/le-noyau-linux-est-disponible-en-version%C2%A030

Ne me demandez pas de commenter, je n'y connais rien ;-) c'est juste pour l'info...

vendredi 5 août 2011

Mise à jour problématique de Libreoffice

La suite bureautique LibreOffice a été mis à jour hier sur mon pc (version 3.4.2). Je ne sais pas ce qui s'est passé mais ce matin, impossible d'ouvrir un fichier .odt, une interface graphique moche.

J'ai donc cherché à savoir si j'avais bien tous les paquets d'installé car je pensais que la mise à jour avait peut être été défectueuse.

Pacman ou yaourt :

$pacman -Qs libreoffice

Cette commande affiche en détail la liste des paquets installés que l'on peut réduire à un logiciel (ici libreoffice). C'est exactement la même chose avec yaourt.

En comparant avec les paquets officiels sur Archlinux, j'ai constaté qu'il en manquait bon nombre : libreoffice-writer, libreoffice-calc ... libreoffice-gnome.
Bref, tous ce qu'il faut pour utiliser la suite bureautique. J'ai fait un complément d'installation.

Finalement cela m'a permis de découvrir des options de pacman/yaourt très intéressantes et auxquelles on ne pense pas forcément tout de suite.

Liens :

http://www.libreoffice.org/

http://fr.libreoffice.org/

http://wiki.archlinux.fr/Pacman

lundi 1 août 2011

Nettoyage d'une vidéo au format m2ts enregistrée via la Freebox


Lire une vidéo même au format full HD n'est plus un problème sous GNU/Linux et Totem fait cela très bien.

Archlinux x86_64 :

L'avantage du 64 bits se révèle dans tous ce qui est traitement vidéo (et peut-être audio). Ainsi, à Architecture identique, j'arrive à lire sans problème des fichiers au format full HD avec ma distribution en 64 bits alors que j'étais limité en simple HD avec une installation en 32 bits sur le même matériel.

Je peux donc lire  sans problème des émissions enregistrées par ma Freebox v6 en HD et récupérées sur mon disque dur via le ftp (ex. par Filezilla).

Les vidéos enregistrées avec la Freebox v6 :

Les fichiers sont au format m2ts :
- Vidéo :  1440 x 1080, 25 frames par seconde.
- Audio : MPEG-4 AAC stéréo à 48 kHz, le débit varie en fonction de l'enregistrement.

Nettoyage de la vidéo : quel outil ?

J'aimerai faire une chose simple sur mes fichiers téléchargés : retirer des images avant et après pour ne garder que l'émission sans changer le format m2ts.

  • Avidemux ?
Normalement Avidemux devrait faire le job mais il est incapable de charger les fichiers m2ts. Même une émission de moins de 700 Mo ne passe pas alors que j'ai 4 Go de ram.

Après de nombreuses recherches sur le net, je suis tombé sur une application qui devrait faire le travail :
  • tsmuxer
Deux paquets AUR à installer.

$yaourt -S tsmuxer tsmuxer-gui

Les dépendances installeront également la librairie qt en 32 bits pour l'interface graphique.

Pour le test, j'ai utilisé un enregistrement sur Arte du dernier documentaire en date des Monthy Python (2009) qui est passé en mai 2001. C'est un documentaire en 6 parties qui ont été diffusé deux par deux. Le premier enregistrement comprend donc les épisodes 1 et 2. Je voudrais les séparer et retirer les parties de l'enregistrement qui n'en font pas partie.

Je travaille sur une copie d'enregistrement.

tsMuxeR après ajout de la source m2ts

  1. Dans Applications->son et vidéo : cliquer sur l'icône tsMuxeR. L'application se lance.
  2. Ajouter la vidéo à couper dans la page input à l'aide du bouton Add : le format m2ts est reconnu.
  3. Dans la partie output, on règle le format à m2ts, on peux également renommer le fichier de sortie. Je garde tous les canaux : vidéo, audio allemand et français. A ce stade je pourrais supprimer la version allemande en décochant la piste 2.
  4. On clique sur l'onglet, Split and Cut : à noter que la partie output est présente sur toutes les pages. Comme je ne vais pas saucissonner le fichier (split) mais extraire le premier épisode : je fais donc un cut.
  5. Cocher la case Enable cutting pour lancer l'opération. Il suffit ensuite d'entrer le point de départ et de fin sous forme de temps : attention, il n'y a pas de visualisation de l'opération. Le repère de temps doit se faire dans un lecteur vidéo. Le choix peut se faire en minutes, secondes ou millisecondes.
  6. Dans totem, rechercher le temps exact en minute et seconde (CTRL+k) de début et de fin d'épisode.
  7. Quand les temps Start et End sont définis, appuyer sur Start muxing.
Création de la vidéo nettoyée
A noter que la barre de progression de tsMuxeR s'est arrêté à 44,7% mais que le travail a été indiqué comme terminé. Effectivement, un contrôle du fichier produit montre une vidéo de qualité égale à l'originale, lisible dans sa totalité et sans images superflues.

L'extraction d'un fichier de 1,8 G sur un total de 4,4 G a pris 1 min 57 sec.
Configuration : Proc Intel pentium dual-core E5700, RAM 4 Go.



vendredi 29 juillet 2011

Éditeur de page web Bluegriffon ™

Je ne suis pas un fan des éditeurs de code html en mode visuel (le fameux WYSIWYG). Néanmoins, le langage html a subit récemment une évolution majeure (mai 2011) en passant à la version 5.

Soucieux de mettre à jour mes connaissances et mes pratiques qui commencent à dater tout en cherchant un outil me permettant d'explorer les nouvelles possibilités du langage, je suis tombé sur Bluegriffon, le successeur de Nvu qui utilise le moteur de rendu de Firefox.

Je vais donc l'utiliser pour voir si je peux produire assez simplement un petit site en html5 ou xhtml5 avec des feuilles de style à la norme CSS3.

Site  de l'éditeur :

Logo du site officiel de Bluegriffon


L'éditeur est disponible pour GNU/Linux, Mac Os X et Windows.

Installation de Bluegriffon :

Bluegriffon se trouve dans le dépôt AUR :

$yaourt -S bluegriffon

Sources pour Html5 et CSS3 :

Un article de l'excellent site Alsacreations :

Cet autre article date un peu, mais des informations s'y trouvent (au moins pour la culture générale) :

D'autres sources pour faire du (x)html sérieusement :-) :


Sans oublier... http://www.w3.org/

Lancer Bluegriffon :

Bluegriffon s'installe dans la section Programmation. Vous pouvez l'ajouter à votre Dash.


Bluegriffon au lancement

Créer une page à l'aide de l’assistant :

A l'aide de l'assitant de création de page (menu Fichier->Création assistée d'un nouveau document) :


  • Première étape : choisir le type de document :
Le type de doctument ou doctype permet au navigateur d'interpréter plus précisément le contenu.

4 choix : html4, xhtml (avec pour chacun l'option strict ou transitionnel), html5 et xhtml5.

 Je choisis xhtml 5 et je clique sur suivant...

  •  Seconde étape : quelques réglages destinées à l'en-tête de page (Head) :
 Titre de la page, auteur, description (qui apparaît dans le moteur de recherche), les mots clefs, la langue du document, le jeu de caractères (utf-8 par défaut) et enfin la direction du texte (de gauche à droite).


  • Troisième étape : les premiers styles :
Ils concernent la couleur du fond, du texte et des liens. Si vous choisissez de les modifier, alors une boite de dialogue apparaît pour choisir la couleur. Plusieurs choix possibles : code rvb, code hexadécimal, nom ou choix sur une palette.


  • Quatrième étape :  image de fond si nécessaire :
Insertion d'une image de fond et de son comportement.


  • Cinquième étape : mise en page des éléments : 
Réglage des éléments e mise en page (largeur de la colonne principale, présence ou pas d'une barre latérale). Remplissage de certains éléments avec un texte latin généré automatiquement.


  • Sixième étape : génération de la page xhtml :
Voici la page générée, elle apparaîtra ainsi dans Firefox.



Si on l’enregistre, l'ensemble se retrouve dans un seul fichier avec pour extension .xhtml

Quoi d'autre ?

Reste à voir ce que cache le code généré, les possibilité de créer en html5 ou une page sans l'aide de l'assistant. 

A suivre...


vendredi 22 juillet 2011

Installer et créer un projet Symfony 1.4


Préambule :

Cela peut sembler hors sujet, mais pour pouvoir développer un projet Symfony, il faut utiliser un environnement de développement php.

Installer un environnement de développement php :

L'idéal est d'installer un serveur LAMP.

La meilleure page pour le faire est la version anglaise du wiki Archlinux qui est la plus à jour :

https://wiki.archlinux.org/index.php/LAMP

Ensuite, installez phpmyadmin pour gérer confortablement les bases de données.

Note :  pour relancer le serveur apache, tapez en mode superutilisateur :
/etc/rc.d/httpd restart

Ajoutez-vous au comme utilisateur du groupe http :

https://wiki.archlinux.org/index.php/Group

En mode superutilisateur, vérifiez et modifier si nécessaire le groupe du répertoire http (de /srv/http) pour qu'il soit http et pas root (chown). De même donnez les droits d'écriture au groupe http sur ce répertoire (chmod).

Ces opérations étant faites, vous pourrez travailler à loisir dans ce répertoire.

Avec quels outils développer ?

Dans ce domaine, nous avons l'embarras du choix :

gEdit :  installez de langue yaml.lang pour la coloration Syntaxique. Activez le greffon Terminal et affichez le panneau du bas pour l'utiliser.
Emacs : installez les paquets emacs-php-mode ainsi que emacs-yaml-mode (dépôt AUR).
Eclipse : yedit  (AUR), eclipse-phpeclipse et eclipse-wickedshell (Terminal).
Note: yedit utilise les bibliothèques mono. Si vous y êtes allergique, n'utilisez pas Eclipse.

Il existe d'autres solutions (vim devrait bien faire le job également).

Pour ma part, j'utilise gEdit car il s'approche de notepad++ dans son utilisation.

Installation de Symfony 1.4 :

Le paquet Symfony se trouve dans le dépôt AUR. Pour l'installer, le plus simple est d'utiliser yaourt à la place de pacman.

Dans un terminal : yaourt -S symfony

La compilation est assez rapide.

Quelques réglages indispensables :

Symfony se trouve dans le répertoire /usr/share/.

Il faut ajouter /usr/share/symfony dans le fichier /etc/php/php.ini à la ligne open_basedir.

Par ailleurs, vérifiez que dans le fichier /etc/httpd/conf/httpd.conf

< Directory “/serv/http/”>
...
AllowOverride All ((au lieu de None))
...
< /Directory > 

Puis relancer le serveur.

Créer un projet Symfony :

Cela peut varier avec les réglages de votre architecture, par défaut votre projet Symfony devra se trouver dans le répertoire /srv/http/.

Bon nombre d'opération se feront dans un terminal (toutes les opérations en ligne de commande).

Si vous utilisez gEdit avec les panneaux latéral et inférieur activés ainsi que le greffon terminal sélectionné alors tout est à porté de main. Dans le terminal, allez dans le répertoire /srv/http/.

Créez un répertoire qui sera la racine de votre projet (mkdir monprojet (*)).
Ensuite, placez vous dans ce répertoire : toutes les commandes Symfony se feront à ce niveau.

symfony generate:project myproject (*)

(*) : bien entendu, vous mettez ce que vous voulez. Les deux noms peuvent être différents.

Par défaut, Symfony créé un projet avec Doctrine. Doctrine est un orm (object relation mapper) qui permet d'utiliser les bases de données comme si c'étaient des objets.
Pour en savoir plus : http://www.siteduzero.com/tutoriel-3-197048-utilisation-d-un-orm-les-bases-de-doctrine.html

Si vous voulez créer un projet qui utilise l'orm Propel :

symfony generate:project --orm=Propel myproject

Cela créé une première arborescence.

apps/
cache/
config/
data/
lib/
log/
plugins/
test/
web/
symfony

L'arborescence actuelle est peu utile car elle n'est pas liée à une application.

Connexion à la base de données :

Dans phpmyadmin, créez une base de données vide. Dès lors, il suffit de générer un accès à cette base :

php symfony configure:database "mysql:host=localhost; dbname=mon_nom_de_base_de_données" root mon_mot_de_passe_de_connexion_à_mysql

Créer l'application :

php symfony generate:app frontend

Cela créée une application nommée frontend dans le répertoire apps/.

Copier des répertoires :

Allez dans le répertoire lib/ et créer le répertoire vendor/. Allez dans ce répertoire  et créez un lien symbolique vers le répertoire symfony :
ln -s /usr/share/symfony (lors de la mise en production, il faudra faire une copie du répertoire Symfony, durant le développement, un lien symbolique suffit d'autant plus que le paquet risque d'être mis à jour).

Revenez à la racine de l'application et allez dans le répertorie web/, faites un lien symbolique vers le répertorie sf.
ln -s /usr/share/symfony/data/web/sf/ 

Ce répertoire contient tous les éléments nécessaire au développement comme barre de développement de Symfony ainsi que des fonds par défaut pour des pages inexistantes.

Fichiers .htaccess :

Dans la documentation, il est préconisé de modifier httpd.conf pour créer un serveur virtuel sécurisé dédiée à votre application. Si vous en avez la possibilité, faites le. Une autre solution, mette un fichier .htaccess à la racine du site en plus de celui qui se trouve dans le répertoire web/.

A la racine du projet :

RewriteEngine On
RewriteBase /monprojet
RewriteCond %{REQUEST_URI} !^web/.*$
RewriteRule ^(.*)$ web/$1 [QSA,L,R]

Dans le répertoire web/:

RewriteEngine On
RewriteBase /monprojet/web
RewriteCond %{REQUEST_URI} \..+$
RewriteCond %{REQUEST_URI} !\.html$
RewriteRule .* - [L]
RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} !-f
RewriteRule ^(.*)$ index.php [QSA,L]

Normalement, toutes ces actions devraient vous permettre d'avoir un environnement de travail opérationnel.

Affichage final :


Si ce n'est pas le cas, relancer le serveur.

Maintenant, il ne vous reste plus qu'à créer la base de données, les différents modules de l'application...

mardi 19 juillet 2011

Gnome-Shell : Ouvrir une seconde application

Le fait de cliquer sur une icône de la barre Dash ouvre une application.

Si on re-clique sur la même icône, l'application déjà ouverte vient sur le dessus.

Pour ouvrir une seconde instance de la même application, il suffit de faire un clic-droit sur l'icône et de sélectionner "Nouvelle fenêtre".

Clic-droit sur l'icône de la barre Dash

vendredi 15 juillet 2011

gEdit

gEdit est l'éditeur de texte par défaut de Gnome.

Il se trouve dans les accessoires et pas dans les outils de programmation.
Pourtant, à l'aide de ses plugins, cet éditeur rivalise parfaitement avec un notepad++.

Par défaut, gEdit tient dans une simple fenêtre. On peut lui ajouter un panneau latéral (F9) qui permet de naviguer dans l'arborescence des fichiers ainsi qu'un panneau inférieur (CTRL+F9) qui peut contenir d'autres outils comme un terminal, une console python ou shell.

Site web de gEdit :


Sur ce site, toute l'information concernant gEdit, sa vie, ses bugs et ses plugins. C'est en anglais.

Paquets Archlinux :

Lorsque que vous installez Gnome, gEdit est installé avec.

Paquages : extra/gedit et community/gedit-plugins
Installation : pacman -S gedit gedit-plugins

Évidemment faites un dans AUR (tapez gedit dans la barre de recherche). Il y a quelques paquets intéressant pour booster gEdit. 

Attention, certains sont spécifiques à gEdit 2.

Activer un plugin :

Allez dans le menu Edition->Préférences. Les plugins sont dans l'onglet Greffons. L'installation du paquet gedit-plugins est indispensable.

Extension locale de gEdit :

Il est possible comme pour Emacs de créer localement un répertoire pour y mettre des plugins non intégré dans la source officielle, voir de créer ses propres plugins. L'opération est identique pour ajouter un langage (et sa coloration syntaxique) qui n'est pas prévu au départ (par exemple yaml).

 Ouvrir Nautilus (Fichiers dans la barre Dash). Affichez les fichiers cachés (CTRL+H, comme sous Gnome 2) et allez dans le répertoire .local/share qui sera appelé par la suite répertorie de base.
  • Étendre les plugins :
Dans le répertoire de base, si le répertoire gedit n'existe pas alors créez-le. Dans nautilus (clic-droit+ Créer nouveau dossier), allez dans le répertoire gedit et créez le répertoire plugins.
  •  Ajouter un langage:
Dans le répertoire de base, créez le répertoire gtksourceview-3.0 dans celui-ci  créez le répertoire language-specs. C'est dans ce répertoire que vous mettrez vos fichiers de langage.

Note : il est tout à fait possible de faire ces opérations en ligne de commande.

Ajouter le langage yaml :

Une différence avec notepad++, gedit ne supporte pas nativement la syntaxe yaml.

Le langage yaml se trouve ici :

Télécharger, le fichier yaml.lang et copiez le dans le répertoire language-specs

Lancez gEdit et la syntaxe yaml apparaît dans le menu Affichage->Mode de coloration->Others.

Exemple de coloration syntaxique yaml










Ajouter le plugin Favorites :

Ce plugin permet de mettre des fichiers en favori dans gEdit.


Récupérez l'archive et décompressez-là. Dans le répertoire .local/share/gedit/plugins/ copiez le répertoire favorites et le fichier favorites.plugin.

Relancez gEdit. Allez dans le menu Edition->Préférences et sélectionnez l'onglet Greffons. Activez Favorites.

Sur le panneau latéral (F9) de gedit, un onglet supplémentaire est apparu orné d'un cœur. Dans cet onglet, on peut créer des dossiers pour organiser les favoris. Cette organisation sera spécifique : c'est une façon de taguer et d'organiser des fichiers situées à des endroits très différents.

C'est un plus par rapport au plugin Signet même si ce dernier possède de très intéressantes fonctionnalités.

Plugin favorites dans gedit




dimanche 10 juillet 2011

Changer l'affichage de l'heure pour ajouter la date

L'affichage par défaut du shell gnome est un peu pauvre : seul le jour et l'heure sont affichés :
dim. 19:30

Pour ajouter la date, il suffit de taper dans un terminal :

gsettings set org.gnome.shell.clock show-date true

Ce qui fait que le jour, la date et l'heure sont visibles désormais :
dim. 10 juil.,19:30

Pour revenir à l'affichage initial : même commande passée avec le paramètre false.

D'autres astuces trouvées sur cette page :

http://www.tux-planet.fr/toutes-les-astuces-pour-gnome-shell/

samedi 14 mai 2011

Vidéo ARTE +7 : enfin !

Cela faisait des mois que j'attendais ce moment...

Lors de la dernière mise à jour du Adobe flashplugin 10.3.181.14-1 (dépôt Multilib pour les 64 bits), le lecteur vidéo d'Arte est enfin opérationnel sous Firefox et GNU/Linux sans rien faire d'autre.

Sans passer par un hypothétique plugin pour totem qui fut une plaie à installer pour finalement crasher le lecteur vidéo Totem dès qu'il fut activé.

Pour installer flashplugin : sudo pacman -S flashplugin

Ensuite, vérifier que dom.ipc.plugins.enabled est à true dans Mozilla Firefox sur la page about:config.

mardi 3 mai 2011

Impossible de monter une clef USB

Depuis deux jours, impossible de lire une clef USB. J'avais toujours ce mesage : "Error creating moint point: No such file or directory".


Après avoir fait des pages de forum, la solution s'est imposée : je n'avais plus de répertoire /media à la racine ! Je n'ai pas souvenir de l'avoir détruit. Mystère...

Il m'a suffit de le recréer en mode superutilisateur (root) pour pouvoir de nouveau lire mes clefs USB.

Avoir la version précédente d'un ou plusieurs paquet(s)

Lors du passage de Gnome 3 du dépôt testing à extra, je me suis retrouvé avec plusieurs paquets qui était dans une version plus récentes que celles des dépôts stables.

J'ai donc eu envie de remettre mon système d'aplomb. Sous Archlinux, cela se fait le plus simplement possible avec la commande :

pacman -Syuu

Au préalable, il faut avoir neutralisé les dépôts testing dans /etc/pacman.conf en les remettant en commentaire.

Pour en savoir plus :

http://wiki.archlinux.fr/Downgrade

lundi 2 mai 2011

Gnome 3 devient extra

Depuis le 1er mai 2011, Gnome 3 prend officiellement la place de Gnome 2 dans le dépôt extra de la distribution d'Archlinux.


Cela va entraîner des modifications, certaines importantes comme le passage obligatoire à Pulseaudio pour la gestion des sons et l'abandon d'une alternative proposé par Gnome 2.

Pour ma part, c'est plutôt une bonne nouvelle car cela m'a également permis de re-stabiliser ma distribution en désactivant les dépôts testing dans pacman.conf

Pour en savoir plus :

http://archlinux.fr/news/gnome3-dans-extra

vendredi 22 avril 2011

The Linux Counter : Comptez-vous !

Il n'y a pas de comptabilisation précise des utilisateurs GNU/Linux.

Depuis l'an 2000 , je me suis inscrit sur  The Linux Counter.


N'hésitez pas à vous inscrire... http://counter.li.org/

dimanche 17 avril 2011

Connexion automatique de l'utilisateur

Je pensais que cette fonctionnalité était perdu depuis les derniers Gnome 2.

Avant il était possible de connecter automatiquement un utilisateur depuis GDM.

Comme pour d'autres fonctionnalités de Gnome, celle ci à été déplacée dans le paramètre système Compte utilisateur.






Pour activer la connexion automatique, il faut déverrouiller le compte à l'aide du mot de passe superutilisateur puis d'activé la connexion automatique.

Test :

Au redémarrage,  la phase de connexion à GDM est passé par contre, il faut entrer le mot de passe utilisateur pour déverrouiller le trousseau de clef.

Là, je ne sais pas encore si on peut améliorer cela...




Eteindre ou redémarrer l'ordinateur

Revue des différentes manières de quitter Archlinux depuis Gnome :

Quitter la session et fermer :

Cliquer sur le nom d'utilisateur sur la barre du haut  et sélectionner fermer la session. Quand la session est fermé, le bouton d'arrêt se trouve sur la barre du haut.

On peut obtenir la même chose avec le raccourcis : CTRL + ALT + Suppr

Quitter ou redémarrer :

L'opération peut se faire de deux manières :

La plus simple : appuyer sur le bouton power de la machine, la fenêtre suivante s'affiche :

Il suffit de sélectionner éteindre ou redémarrer. A noter, qu'éteindre est l'option par défaut.

La seconde commence comme pour quitter la session : clic sur le nom d'utilisateur puis appuyer sur la touche ALT : le dernier item, Mettre en veille se transforme en Éteindre. Le sélectionner et la boite de dialogue Éteindre apparaît.

Mettre en veille :

Cette opération est préconisée par défaut. clic sur le nom d'utilisateur dans la barre du haut et cliquer sur Mettre en veille. L'ordinateur semble s'éteindre mais il est en veille ;-)

Pour le réveiller, il faut appuyer sur le bouton power de la machine et entrer son mot de passe pour déverrouiller l'écran.

Conclusion :

Il n'y a pas de façon simple d'éteindre son ordinateur. L'applet que l'on ajouter sur la barre du haut était bien sympa. Peut-être un retour en version 3.2

samedi 16 avril 2011

Dash : la barre d'applets qui s'adapte...

Sous Gnome 2, j'aimais mettre mes applications préférées dans la barre du haut.

Sous Gnome3, les applications préférées se trouvent dans la barre Dash qui se situe sur la gauche de l'écran.

Par défaut, il y a 6 applets visibles plus un 7ème caché : la corbeille qui permet de retirer une icône de la barre Dash en faisant un glisser - déposer.


J'ai voulu tester le remplissage de cette barre pour voir comment elle peut se comporter avec un grand nombre d'icônes.

Ajouter une icônes :

La façon la plus simple est d'ouvrir la fenêtre Applications. Un clic droit usur une icône offre deux choix : ouvrir l'application dans une nouvelle fenêtre ou l'ajouter aux favoris. Si vous choisissez cette dernière option, alors l'icône de l'application rejoindra la barre Dash.

Une autre façon de faire : ouvrez une application, l'icône  se met temporairement dans Dash : un clic droit et vous la passer en favoris.


Mise en valeur des applications utilisées :

Lorsqu'on utilise une application, l'icône se distingue avec un souligné blanc.

Par exemple sur cette barre, on voit que Firefox et Emacs sont lancés.

L'application peut être lancé d'un clic sur l'icône de la barre Dash ou bien depuis une fenêtre application ou lanceur (ALT+F2)

















Comment se comporte la barre Dash quand on ajoute des icônes ?

Le résultat est simple : au delà de certains seuils les icônes changent de taille.

 En version de base, la barre contient 6 icônes assez grosses. Pour une résolution de 1440 x 900 : j'ai pu aller jusqu'à 9 icônes sans changement de taille.

La barre contient 17 icônes et tient toujours dans la page.

Les moins :

Je ne sais pas si ces fonctionnalités sont perdues ou pas trouvé mais on ne peut plus ajouter une icône à partir d'un bouton personnalisable.

De même on ne peut pas passer de paramètres à un programme. C'est un peu frustrant, on doit se contenter des applications présentes dans les menus... Il reste le lanceur (ALT+F2) qui permet de passer des paramètres aux applications.

jeudi 14 avril 2011

Paramètres système : le clavier et la localisation

Dans Gnome 2 : le choix du clavier et son réglage se trouvait au même endroit. Sous Gnome 3, il faut faire des réglages à deux endroits différents :

Paramètres du système : 

Pour accéder  aux paramètres du système, il suffit de cliquer sur le nom de connexion puis de cliquer sur la ligne "Paramètres système".
Menu accessible sous l'identifiant de l'utilisateur
La fenêtre suivante s'affiche :

Fenêtre Paramètres système

Pour le sujet du clavier et de la localisation : deux paramètres sont utiles : clavier et Pays et langue.

Paramètre Clavier :

Le paramètre clavier permet de régler deux choses.

Sur la page général : réglage de la vitesse des touches (délai de réponse et vitesse de frappe) ainsi que du clignotement du curseur à l'écran (désactivé par défaut).


La seconde page contient tous les raccourcis défini dans l'application (pas toujours activé). Il y a également la possibilité de créer ses propres raccourcis. J'ai essayé et cela n'a pas fonctionné : chaque fois que je définissais un raccourci personnel la ligne disparaissait quand je cliquais sur Appliquer. Bug ?




Paramètre Pays et langue :

Ce paramètre permet de régler deux choses : 

Sur la page langue, la langue qui sera utilisée par Gnome (ici, Français de France). 


Sur la page Agencement, on peut définir le clavier. Il suffit de cliquer sur le  + pour ajouter un type de clavier. Les flèches haut / bas permettent de positionner le clavier utilisé en priorité (tout en haut). Enfin la touche - permet de retirer un clavier de la liste.


Si on clique sur l'engrenage, on affiche la carte d'agencement du clavier (je n'ai pas trouvé de traduction satisfaisante pour Keymap) :




Par contre, on n'a plus la ligne pour tester les touches... Mais si vous taper sur votre clavier, les touches pressées se distingueront sur le keymap.

Il y a un bouton Options qui  affiche une boite à options où l'on peut personnaliser le fonctionnement du clavier.

mardi 12 avril 2011

Archivist : Yelp

Archivist


Archivist devrais être une série de messages consacrés à l'information disponible dans Archlinux. Comment l'installer, la retrouver, quels sont les outils disponibles et comment tout cela fonctionne...

Cela ne paraît pas encore très clair mais avec le temps j'espère que cela le deviendra :-)

Yelp : l'explorateur d'aides de Gnome


Gnome 3.0 est assez différent de son prédécesseur pour son utilisation.
Heureusement, il existe une aide accessible à l'aide de l'application Yelp.

Lancer yelp


Pour y accéder, allez dans le menu applications->accessoires et cliquer sur la bouée Aide. Une façon plus rapide est de taper Alt+F2 pour afficher la barre de lancement et d'y taper yelp.

Note : l'historique des commandes tapées est conservé, il suffit de naviguer avec les flèches haut - bas pour retrouver une commande qui a déjà été lancé une fois.

Screenshot


 
Yelp

Utilisation


L'ouverture se fait sur l'aide à l'utilisation du bureau Gnome 3.0. Elle est actuellement tout en anglais mais suffisamment compréhensible pour apprendre plein de choses sur ce nouveau bureau : notamment les raccourcis claviers.
Il y a également une page sur l'utilisation du dash (ou dock sous d'autres environnements). Il s'agit de la barre d’icônes qui se situe sur la partie gauche de l'écran et dont le contenu peut être entièrement redéfini.

La barre de recherche sous la ligne de menus sert à faire des recherches en tapant un mot à chercher mais elle sert également à naviguer parmi les signets créés par l'utilisateur en parcourant la documentation.

Enfin, le menu Aller à -> Tous les documents : affiche toutes les documentations disponibles dans Yelp et pas seulement celle du bureau Gnome (par exemple celle de GConf s'y trouve...).

Note : Les autres documentations peuvent être traduites en français. Si c'est le cas, c'est la version en français qui s'affichera par défaut, sinon c'est la version anglaise.

lundi 11 avril 2011

Gnome 3.0 se stabilise

Aujourd'hui, Gnome 3.0 est passé du dépôt gnome-unstable à testing. Dans quelques temps il devrait intégrer le dépôt extra.

Une curiosité : il n'y a plus de bouton quitter sur le bureau : il faut désormais fermer sa session pour revenir à GDM.

Là, il suffit de lancer la procédure d'arrêt avec le bouton en haut et à droite : exactement comme sous Windows Vista.

J'espère que l'applet "bouton arrêt" fera son retour pour la version 3.2.

Je suis surpris de la stabilité de Gnome 3.0. C'est étonnant pour un environnement complètement neuf.

Retour du clavier azerty avec GDM 3.0

Le problème

Après avoir installé Gnome 3.0, j'ai eu un désagrément de taille : dans GDM, mon clavier était initialisé en version US. Si cela ne pose pas trop de problème pour le login, ça commence à devenir délicat pour le mot de passe.

A noter que lorsqu'on se connecte en mode console et qu'on lance twm (avec la commande startx) : le problème reste entier, ce n'est donc pas un problème de GDM mais de Xorg.

Pour voir ce qui ne va pas, j'ai consulté le fichier /var/log/Xorg.0.log

La solution 

Heureusement sur cette page de Wiki, se trouve la solution :
http://wiki.archlinux.fr/Xorg#Clavier

Pour modifier le clavier, il suffit de modifier le fichier suivant :

/etc/X11/xorg.conf.d/10-evdev.conf




Section du fichier à modifier :
Section "InputClass"
        Identifier "evdev keyboard catchall"
        MatchIsKeyboard "on"
        MatchDevicePath "/dev/input/event*"
        Driver "evdev"
        Option "XkbLayout" "fr"
EndSection

La ligne option  "XkbLayout"  "fr" n'existait pas dans le fichier. J'ai ajouté la ligne et après un redémarrage : le clavier azerty est bien présent dès GDM, ce qui est bien pratique pour les caractères spéciaux pas forcément au même endroit que sur le clavier fr.

Voilà, la continuité du clavier est rétablie B-)

vendredi 8 avril 2011

Gnome 3.0

Gnome 3 est sorti depuis le 6 avril 2011. Sous Arch il est dans un dépôt à part Gnome-unstable.

Installation sous Arch :

Comme d'habitude, une page de wiki très bien faite qui explique l'opération pas à pas.

https://wiki.archlinux.org/index.php/Gnome_3

L'installation prend peu de temps avec une connexion ADSL.

Screenshots :


Le bureau après installation (page fenêtres)

La page applications
Les plus :

J'aime beaucoup le coté épuré du nouveau bureau que j'avais d'éjà sous Gnome 2. Il est rapide, fluide et tout en français... C'est comme dans la pub...

Il faut prendre de nouvelles habitudes comme survoler le coin en haut à gauche pour afficher les fenêtres ou les applications. l'ensemble reste assez intuitif et rapide.

Jusqu'ici, j'ai pu utiliser toutes mes applications sans problème (je n'ai pas tout testé). Nautilus comme navigateur de fichier n'a rien perdu de ses avantages (touche F3 pour scinder le navigateur).

Les moins :

9 ans sous Gnome 2, ça vous marque un homme. L'impression la plus prégnante est un sentiment d'abandon.  Je n'ai pas trouvé de documentation consistante sur gnome 3 à part des tutoriel vidéo qui ne remplace pas un texte beaucoup plus rapide à lire.

j'ai l'impression qu'il faut plus de clics de souris pour ouvrir une application : heureusement, on peut définir certains raccourcis clavier en allant dans paramètres systèmes->clavier.

J'en ai profité  pour utiliser la touche Windows ou Super L qui finalement s'appelle Mod4 :

Dans l'interface clavier aller dans raccourcis->lanceurs
  • Mod4 + E : ouvre l'explorateur  (cela me permet d'avoir un comportement identique avec l'OS de mon travail)
  • Mod4 + T : ouvre un terminal
  • Mod4 + H : ouvre le navigateur d'aide
Reste à explorer ce dernier...

Bugs :

Parfois la partie application se bloque et n'affiche plus qu'une seule icône. J'ai pas trouvé la solution pour corriger cela à part redémarrer l'ensemble.

GDM : il utilise un clavier qwerty pour la connexion et je ne sais pas encore comment lui expliquer qu'il se trompe :-)

Conclusion :

Il est encore trop tôt pour conclure sur Gnome 3 mais pour l'instant je suis sous le charme...

Mon Archlinux

Quelques billets autour de ma distribution GNU/Linux actuelle : Archlinux X86_64